Qui sommes nous ?

Les Dogues Allemands des Petites Vernières est un élevage né de l'amour des animaux mais surtout de la race. Cette passion nous a fait passer de propriétaire à éleveur au fil des années. Aujourd'hui nous pouvons vous raconter cette histoire et vous présenter les personnes qui oeuvrent au quotidien pour le bien de nos protégés.

Gérard Mignot

Gerard

Je suis né à Paris de parents qui aimaient et possédaient des chiens, Très vite je m’en suis occupé et j’ai toujours voulu être vétérinaire.

 

A l’adolescence j'ai eu mon propre dogue, Vétéran de la Templerie, mâle bringé que j'avais recueilli et auquel j’étais très attaché. Sa disparition brutale à 5 ans m’a laissé anéanti ; la peine était terrible.

 

Trois ans après, malgré ma précaire situation d’étudiant vétérinaire, j’ai fait l’acquisition de Poète des Terres de la Rairie, mâle fauve victime à 3ans 1/2 d’un ostéosarcome. puis de Raquel du Clos Templerie, femelle fauve qui a brillé sur les rings d’expositions et qui m’a donné beaucoup de satisfaction et enfin de Fanny de la Commone, femelle bleue, qui m’a accompagné pendant 13 ans.

 

Je suis resté longtemps un simple propriétaire de dogues qui les aimait pour leur beauté mais surtout pour leur caractère. Ils partageaient ma vie au quotidien Raquel et Fanny m’ont suivi lors de mes périgrinations de jeune vétérinaire dans le Poitou, à Paris, dans l’Yonne, dans l’Oise et enfin en Touraine. Membre du Doggen Club de France depuis 1972, puis membre du comité du club pendant de nombreuses années, secrétaire du DCF, j’ai essayé d’apporter ma pierre à la vie associative.

 

En 1989, j’ai repris les dogues de messieurs Perrin et Pousset,  trop tôt disparus, et j’ai essayé de continuer la sélection qu’ils avaient entrepris. Depuis 2003 je suis juge qualifié pour la race. Vétérinaire, éleveur, juge : 3 facettes différentes mais complémentaires pour vivre au quotidien ma passion : Le Dogue Allemand.

Philippe

Mon goût allait à cette époque plutôt vers les terriers d'Ecosse Scottish et Airedale que je porte toujours dans mon coeur, mais très vite les similitudes morphologiques du dogue avec le cheval ont très rapidement séduit le cavalier que je suis. Puis j'ai appris très vite à connaître et à aimer ces gros pépéres au coeur tendre.

 

Co-éleveur avec Gérard depuis 15 ans aujourd'hui, j'ai malgré tout plus une âme de propriétaire que d'éleveur, le nombre de chiens présents à l'élevage étant toujours un peu préjudiciable à la complicité qu'on peut avoir avec un seul, unique et incomparable. De plus leur départ de la maison est souvent un déchirement et un moment d'angoisse d'interrogations du genre : "J'espère qu'il sera bien ... ou les gens ont l'air gentils ... ou pourvu qu'ils l'aiment.

 

Pour se rassurer on insiste sur "surtout donnez-nous des nouvelles, si vous faites des photos pensez à nous etc, etc". Je pense savoir aujourd'hui apprécier justement les qualités et les défauts d'un chien. Je crois avoir un bon oeil comme on dit, encore une fois l'esthétique du Dogue étant très proche de celui du cheval. Très souvent je suis amené à donner mon avis sur tel ou tel chien, sur son utilisation éventuelle avec telle ou telle de nos filles même si je considère que de nous deux, Gérard est le plus apte et le plus compétent à décider des orientations génétiques à prendre.

 

Face à une passion très dévorante qui pourrait facilement se révéler envahissante... Je suis l'élément pondérateur, celui qui rapelle les limites à ne pas dépasser (le mauvais rôle) pour le bien des chiens mais aussi pour le nôtre. Nos situations professionnelles respectives nous permettent de faire de l'élevage une véritable passion sans trop d'obligations financières et heureusement !...

 

Notre devise cynophile est "Une recherche esthétique, un caractère généreux pour une certaine idée du Dogue". Une idée, une conception, un idéal qui sont les nôtres et que nous proposons de partager avec vous.

Nos fidèles complices !

Elever nécessite des infrastructures adaptées et c’est un problème quand ni l’un ni l’autre n’est bricoleur.

Heureusement le Dogue permet des rencontres amicales et sincères de gens qui sont prêts à vous aider de façon complètement désintéressée.

C’est ainsi que Miguel SIERRA s’est chargé de la conception des chenils, de la pose du grillage aux petites maisons intérieures, il a tout réalisé de main de maître, parfois ronchon mais le plus souvent espiègle comme il sait l’être.

Souvent partis en expositions, en jugement ou en vacances, il nous fallait une nounou pour câliner nos chiens en notre absence. C’est Maryline PERRAULT qui tout naturellement s’est petit à petit investie dans notre élevage et dans notre amitié. Toujours prête à nous aider, à s’assurer que rien ne manque, à jouer avec les bébés, sa présence et son amitié sont devenues aujourd’hui indispensables aux dogues comme à nous.

Et qui au quotidien vient depuis 15 ans déjà assurer l’intendance ? C’est Madame MERCIER qui tous les matins après avoir pris son café avec nous assure le repas matinal des chiens et le nettoyage. Dès qu’elle arrive des aboiements joyeux l’accueillent : les chiens l’adorent et réciproquement.

Nous souhaitons les remercier sincèrement car sans eux, notre tâche serait beaucoup plus difficile voire impossible.